EcoPo est une École Supérieure de formation des cadres supérieurs dont le Katanga a besoin pour la bonne gouvernance de ses administrations, ses entreprises, son ingénierie financière et pour son développement. Les formations proposées s’adressent à des étudiants aptes à suivre un cursus exigeant et se préparant à des emplois d’encadrement et de direction des services publics, des entreprises privées, des banques etc.
L'école propose trois Masters :
- Ingénierie financière et gestion des entreprises.
- Diversification et développement agroalimentaire et industriel.
- Affaires publiques.
Les niveaux de connaissances et de compétences visés pour l’obtention des diplômes de sortie sont ceux de la norme internationale (Processus de Bologne) par le niveau d’enseignement directement proposé par deux Universités européennes, la qualité des partenaires pédagogiques, les ratios enseignants/étudiants utilisés ainsi que la mise en place d’un suivi, l’obligation de la mobilité et un accompagnement permanent des étudiants.
Les étudiants doivent acquérir un certain nombre de crédits ECTS pour valider leur année, chaque matière correspondant à un certain nombre de crédits selon son importance.
Les étudiants doivent acquérir un certain nombre de crédits ECTS pour valider leur année, chaque matière correspondant à un certain nombre de crédits selon son importance.
Reconnaissance nationale des diplômes :
Une convention signée entre l'Université de Lubumbashi (UNILU) et EcoPo garantit l'équivalence nationale des diplômes : les trois Masters sont habilités en tant que Licence Congolaise, les autres diplômes à leurs niveaux respectifs.
Le niveau international du diplôme délivré sera assuré par des partenariats pédagogiques avec des Universités étrangères – notamment européennes –, qui évalueront les maquettes proposées, le contenu des cours et des examens, ainsi que le suivi individualisé des étudiants.
Le niveau international du diplôme délivré sera assuré par des partenariats pédagogiques avec des Universités étrangères – notamment européennes –, qui évalueront les maquettes proposées, le contenu des cours et des examens, ainsi que le suivi individualisé des étudiants.
Le mot du Recteur
En ouvrant EcoPo le 4 octobre 2010, nous avons conscience d’avoir posé une première borne sur un chemin jalonné de difficultés et d’espoirs mêlés.
Notre ambition était somme toute raisonnée : il s’agissait, fondamentalement, d’accompagner l’émergence économique et politique de la République Démocratique du Congo en favorisant la formation des cadres supérieurs des entreprises et des services publics dont le pays a tant besoin. Et, ainsi, de faciliter la montée en puissance d’une classe moyenne supérieure compétente, éprise de bonne gouvernance et désireuse de suivre en RDC des formations de qualité qui leurs permettent obtenir des diplômes équivalents à ceux délivrés dans le monde et, notamment, à ceux délivrés en Chine, en Inde, au Brésil et en Afrique du Sud, lesquels ont dorénavant valeur universelle conformément aux normes européennes, puis internationales, qui ont été adoptées selon les recommandations de ce qui est appelé dorénavant « le processus de Bologne » adopté en 2002. En faisant de l’obtention d’un Master relevant de ces normes la pierre angulaire de notre dispositif de formation, nous soulevions quatre enjeux redoutables, ici, au Katanga.Un enjeu de partenariat qui seul pouvait pérenniser notre développement, assurer la stabilité des dispositifs pédagogiques et donner confiance aux enseignants et aux étudiants. Cela a été rendu possible grâce à notre association avec la Congrégation salésienne avec laquelle nous pouvons développer un partenariat fonctionnel au long cours.Un enjeu opérationnel, puisqu’il fallait rapidement trouver des locaux, les équiper et donner aux enseignants et aux étudiants des conditions d’études adaptées et fonctionnelle. Ceci a été atteint grâce au soutien initial de la Fondation Rawbank et à l’accueil essentiel du Collège Imara.Un enjeu pédagogique en recrutant une équipe d’enseignants pouvant exercer au niveau requis dans l’esprit de modernité, de dynamisme et de sérieux qui constitue notre credo. Cette étape est en passe d’être gagnée grâce à l’intervention massive de cadres supérieurs d’entreprises, ou de l'État, et de professeurs de niveau remarquable. Nous pouvons ainsi proposer une diversité de cultures, une rigueur et une implication collective jamais démentie, tout à fait inédites ici. Cette donnée constitue notre principal élément de fierté à ce jour (voir « Les enseignants d’EcoPo » sur le site).Mais le principal enjeu à relever est celui des mentalités. Les étudiants de notre pays, pour des causes aisément identifiables, peinent à visualiser, comprendre et modéliser les pré-requis nécessaires, les méthodes à adopter et les attitudes de travail indispensables à l’obtention d’un diplôme, et a fortiori un Master de standard international. Nous nous sommes attelés à cette tâche et nous n’en sous-estimons nullement les difficultés : nous multiplions les approches participatives, la responsabilité collective et individuelle, la pratique du terrain, l’évaluation sans fard et sans faiblesse.Dorénavant, au plan académique, nous pouvons correctement baliser le chemin que nous avons ouvert. Cela passe par trois axes de travail essentiels :L’ouverture de notre Cycle long le 4 octobre 2011: ce cursus menant aux Masters en six ans, réservé aux diplômés d'État. Ceux-ci peuvent, sur ce laps de temps conséquent, s’adapter et intégrer les contraintes de niveau et d’attitudes requises. Le Cycle long constitue pour nous le principal outil de réalisation de nos objectifs, mais attention, les places seront limitées…L’amélioration de l’existant pour notre Cycle court (en trois ans, réservé aux Gradués et surtout aux Licenciés.). L’ouverture d’un Master 1 en octobre 2011 pour les meilleurs de nos étudiants actuels en Magister permettra à la prochaine promotion de mieux intégrer les principales données nécessaires pour la réussite ultérieure.La mise en place d’un partenariat qualitatif et solide avec une ou plusieurs Universités européennes et des pays émergents. Ce partenariat a pour objectif de garantir le niveau de nos diplômes et de trouver les moyens d’y parvenir. Ce processus est en marche. Enfin, nous ne pourrions atteindre nos objectifs sans posséder un outil – et un lieu – performant, qui puisse donner aux étudiants les conditions d'études les meilleures et les plus contemporaines possibles. Cela sera rendu possible grâce à l’édification d’un Campus dont la programmation – intitulée Bora Campus – est en bonne voie à ce jour. Ce projet devrait se centrer autour des meilleures conditions d’acquisition des connaissances – médiathèque intégrée, centre d’enseignement à distance et possibilité de cours collectifs par satellite – et disposer des propositions d’enseignements aptes à emmener les meilleurs étudiants vers la réussite et les emplois visés.Je remercie tous ceux qui ont accompagné EcoPo depuis son démarrage : les partenaires financiers, la Congrégation salésienne et tous les encouragements qui nous nous été prodigués, sans qui aucune stabilité n’aurait pu être acquise. Nous savons tous ce qu'EcoPo doit à l’équipe de direction et à l’équipe enseignante, motivées et attentives, et surtout à nos étudiants, qui, quelles que soient les issues de leur formation, ont su faire preuve de confiance et du courage indispensables à leur éventuelle réussite. Que tous trouvent ici le témoignage de ma profonde estime.
Notre ambition était somme toute raisonnée : il s’agissait, fondamentalement, d’accompagner l’émergence économique et politique de la République Démocratique du Congo en favorisant la formation des cadres supérieurs des entreprises et des services publics dont le pays a tant besoin. Et, ainsi, de faciliter la montée en puissance d’une classe moyenne supérieure compétente, éprise de bonne gouvernance et désireuse de suivre en RDC des formations de qualité qui leurs permettent obtenir des diplômes équivalents à ceux délivrés dans le monde et, notamment, à ceux délivrés en Chine, en Inde, au Brésil et en Afrique du Sud, lesquels ont dorénavant valeur universelle conformément aux normes européennes, puis internationales, qui ont été adoptées selon les recommandations de ce qui est appelé dorénavant « le processus de Bologne » adopté en 2002. En faisant de l’obtention d’un Master relevant de ces normes la pierre angulaire de notre dispositif de formation, nous soulevions quatre enjeux redoutables, ici, au Katanga.Un enjeu de partenariat qui seul pouvait pérenniser notre développement, assurer la stabilité des dispositifs pédagogiques et donner confiance aux enseignants et aux étudiants. Cela a été rendu possible grâce à notre association avec la Congrégation salésienne avec laquelle nous pouvons développer un partenariat fonctionnel au long cours.Un enjeu opérationnel, puisqu’il fallait rapidement trouver des locaux, les équiper et donner aux enseignants et aux étudiants des conditions d’études adaptées et fonctionnelle. Ceci a été atteint grâce au soutien initial de la Fondation Rawbank et à l’accueil essentiel du Collège Imara.Un enjeu pédagogique en recrutant une équipe d’enseignants pouvant exercer au niveau requis dans l’esprit de modernité, de dynamisme et de sérieux qui constitue notre credo. Cette étape est en passe d’être gagnée grâce à l’intervention massive de cadres supérieurs d’entreprises, ou de l'État, et de professeurs de niveau remarquable. Nous pouvons ainsi proposer une diversité de cultures, une rigueur et une implication collective jamais démentie, tout à fait inédites ici. Cette donnée constitue notre principal élément de fierté à ce jour (voir « Les enseignants d’EcoPo » sur le site).Mais le principal enjeu à relever est celui des mentalités. Les étudiants de notre pays, pour des causes aisément identifiables, peinent à visualiser, comprendre et modéliser les pré-requis nécessaires, les méthodes à adopter et les attitudes de travail indispensables à l’obtention d’un diplôme, et a fortiori un Master de standard international. Nous nous sommes attelés à cette tâche et nous n’en sous-estimons nullement les difficultés : nous multiplions les approches participatives, la responsabilité collective et individuelle, la pratique du terrain, l’évaluation sans fard et sans faiblesse.Dorénavant, au plan académique, nous pouvons correctement baliser le chemin que nous avons ouvert. Cela passe par trois axes de travail essentiels :L’ouverture de notre Cycle long le 4 octobre 2011: ce cursus menant aux Masters en six ans, réservé aux diplômés d'État. Ceux-ci peuvent, sur ce laps de temps conséquent, s’adapter et intégrer les contraintes de niveau et d’attitudes requises. Le Cycle long constitue pour nous le principal outil de réalisation de nos objectifs, mais attention, les places seront limitées…L’amélioration de l’existant pour notre Cycle court (en trois ans, réservé aux Gradués et surtout aux Licenciés.). L’ouverture d’un Master 1 en octobre 2011 pour les meilleurs de nos étudiants actuels en Magister permettra à la prochaine promotion de mieux intégrer les principales données nécessaires pour la réussite ultérieure.La mise en place d’un partenariat qualitatif et solide avec une ou plusieurs Universités européennes et des pays émergents. Ce partenariat a pour objectif de garantir le niveau de nos diplômes et de trouver les moyens d’y parvenir. Ce processus est en marche. Enfin, nous ne pourrions atteindre nos objectifs sans posséder un outil – et un lieu – performant, qui puisse donner aux étudiants les conditions d'études les meilleures et les plus contemporaines possibles. Cela sera rendu possible grâce à l’édification d’un Campus dont la programmation – intitulée Bora Campus – est en bonne voie à ce jour. Ce projet devrait se centrer autour des meilleures conditions d’acquisition des connaissances – médiathèque intégrée, centre d’enseignement à distance et possibilité de cours collectifs par satellite – et disposer des propositions d’enseignements aptes à emmener les meilleurs étudiants vers la réussite et les emplois visés.Je remercie tous ceux qui ont accompagné EcoPo depuis son démarrage : les partenaires financiers, la Congrégation salésienne et tous les encouragements qui nous nous été prodigués, sans qui aucune stabilité n’aurait pu être acquise. Nous savons tous ce qu'EcoPo doit à l’équipe de direction et à l’équipe enseignante, motivées et attentives, et surtout à nos étudiants, qui, quelles que soient les issues de leur formation, ont su faire preuve de confiance et du courage indispensables à leur éventuelle réussite. Que tous trouvent ici le témoignage de ma profonde estime.
Gilles Roussel - Recteur EcoPo - Le 14 avril 2011
Les engagements d'EcoPo
EcoPo s'engage sur quatre points :
- Une garantie de confiance sur le minerval. Le minerval d'EcoPo inclut tous les frais relatifs à la scolarité : frais de dossier, photocopies, cours, frais d'examens, inscriptions aux bibliothèques, etc. Le minerval d'EcoPo ne peut faire l'objet d'aucun dépassement.
- Une garantie de fiabilité des cours. Quels que soient les impondérables, tout cours/enseignement annoncé sera assuré.
- Une garantie de niveau. EcoPo s'engage à valider le niveau annoncé de ses diplômes : l'étudiant doit accéder au niveau imposé par l'école, et non l'inverse.
- Une garantie d'innovation. EcoPo s'engage à trouver tous les moyens possibles pour que les étudiants puissent atteindre le niveau requis. La recherche de l'innovation concerne les méthodes pédagogiques, la diversité et la qualité des enseignements, le recours à des apports extérieurs, etc.
- Une garantie de confiance sur le minerval. Le minerval d'EcoPo inclut tous les frais relatifs à la scolarité : frais de dossier, photocopies, cours, frais d'examens, inscriptions aux bibliothèques, etc. Le minerval d'EcoPo ne peut faire l'objet d'aucun dépassement.
- Une garantie de fiabilité des cours. Quels que soient les impondérables, tout cours/enseignement annoncé sera assuré.
- Une garantie de niveau. EcoPo s'engage à valider le niveau annoncé de ses diplômes : l'étudiant doit accéder au niveau imposé par l'école, et non l'inverse.
- Une garantie d'innovation. EcoPo s'engage à trouver tous les moyens possibles pour que les étudiants puissent atteindre le niveau requis. La recherche de l'innovation concerne les méthodes pédagogiques, la diversité et la qualité des enseignements, le recours à des apports extérieurs, etc.
